dimanche 20 mai 2012


                Dans la vie on rencontre parfois des pseudos psychologues qui s’imaginent nous avoir complètement cernés, compris, pigés de A à Z et qui se mettent en tête cette idée de nous « réparer ». Sans doute s’imaginent ils être des personnes accomplies, qui n’ont besoin d’aucun travail sur eux-mêmes, dotés d’une vie parfaite et merveilleuse qui leur donnerait le droit, non pas de donner des conseils, mais carrément des directives de vie. Parce qu’eux, eux qui te connaissent par cœur, savent bien évidemment ce qui est bien pour toi…

Et même lorsqu’on essaie de leur faire comprendre qu’on n’est pas si abimé que cela, pas si simple non plus, ils restent sur leur position et t’inventent une liste de problèmes et de difficultés totalement insurmontables.
Ok…

A quel moment ils se mettent en question ? A quel moment ils réfléchissent et se disent que peut être, ils ne connaissent que la partie émergée de l’iceberg ? A quel moment ils se rendent compte qu’on se contrefout de leur opinion ?
Avoir un psychiatre à distance, qui n’a aucune idée de ce qu’est ma vie, de ce que sont mes rêves, mes doutes, et mes envies, je n’en vois pas tellement l’intérêt… Surtout quand le psychiatre en question est un total désaxé qui lui, aurait probablement besoin de se faire psychanalyser par un professionnel…

Quel est l’intérêt de réapparaitre dans la vie des gens quand ils n’ont rien demandé, pour leur balancer des vacheries ensuite ?

Est-ce encore une stratégie machiavélique pour tenter d’asservir la gente féminine, leur rappeler qu’on est là, qu’on les observe ? Une pathétique tentative de ne pas se faire oublier ?

Comment peuvent-ils penser qu’on a besoin d’eux quand on les a soi-même éliminés sans aucun regret de notre existence ?

Pourquoi ne comprennent ils pas que l’amour, ce n’est pas essayer de changer les gens, mais de les aimer tels qu’ils sont ?

Il aura au moins gagné un article… Qu’il ne manquera pas d’analyser, d’interpréter, et de commenter, comme à son habitude…

S’il pouvait simplement oublier mon numéro de téléphone, et se contenter de balancer ses conneries à des nanas plus naïves que moi…

Mon seul problème, c’était toi…

4 commentaires:

  1. You Think I Ain't Worth A Dollar But I Feel Like A Millionaire

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  2. Good for you!
    Le bonheur des cons fait toujours peine à voir...

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  3. Au moins je ne cherche pas à pourrir ma propre existence pour me donner de l'importance... La clef du bonheur c'est peut être de comprendre que la vie ne peut être parfaite et qu'il faut profiter de ce qu'on peut cueillir sans faire systématiquement la fine bouche. Bonne continuation.

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  4. Il semblerait que j'en ai toujours pour toi pour que tu continues à venir lire mon blog et à y poster des commentaires...
    Comme je te l'ai déjà dit, je n'ai pas besoin de tes conseils de vie, et l'opinion que tu peux avoir sur la mienne et mes actions ne m’intéresse pas. Donc en plus d'oublier mon numéro de téléphone, si tu pouvais aussi oublier l'adresse de mon blog et retourner à ta vie parfaite tu sera gentil... Merci! Bonne soirée.

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